mardi, février 28, 2006

somewhere over the rainbow




tribute to my friends. vous me manquez terriblement. je donnerais beaucoup pour une sakra, une saoulerie comme seuls nous savons le faire. waynak ya chez andre???
donc petite pensee asdika2eh.
ho

lundi, février 27, 2006

Valeureuse machination


extrait de "l'amour et les loups de Dieu"

Valeureuse machination
J’ai très envie de leur dire de se tenir debout, sur les bords de Seine et de répéter à l’infini le mot valeur. Parce que ma sœur et l’un de mes amis parlent de valeurs. J’ai pensé que réunir deux futurs médecins ce serait moins compliqué. Alors, assise sur les bords de Seine, j’ai eu envie de leur dire de se tenir et de répéter le mot valeur à l’infini. Le mot valeur perdra-t-il alors de sa valeur ? Aura-t-il encore un sens ?
Ma sœur dit qu’on puise les valeurs dans la foi et pour Ali, on puise les valeurs dans l’idéologie. La foi et l’idéologie ne sont-ils pas parfois le revers d’une même projection ?
Moi je dis que rien n’a de vraie valeur que celle qu’on veut bien lui donner et que les valeurs ça se puise dans la vie et ses philosophies.
Mais je ne veux pas convaincre personne et je ne veux pas être convaincue.
On n’a pas d’images. On n’a pas de visages. Alors on leur substitue un flot de paroles nerveuses.
Je n’ai pas envie de discuter, je n’ai pas envie de fuir non plus. Je veux juste être tranquille. Et puiser les valeurs dans le vécu.
Douce ho au ras des vaisseaux vole et dis moi ou se cache le joli oiseau, douce ho au ras des flots vole et dis moi….
Le retour a été nerveux. Le départ a été craintif. Le séjour a été un retard. Et les retards sont épuisants, et les retours sont nerveux. Un trop plein de nervosité à déverser dans un cri animal qui s’étendra à l’infini jusqu'à en perdre sa valeur, à travers les âges qu’il traversera en s’amplifiant. Jusqu'à en devenir sourd et que plus personne ne l’entend.
Soyez tranquilles. La paix est intérieure. Les exils sont intérieurs. Tout commence par l’intérieur, les guerres sont intérieures, la douleur est intérieure. L’amour…


(Aout 2005)

MassaKer

ce soir avec Moumout yvonne et des potes a elle, nous avons vu le film allemand Massaker, au Mk2 beaubourg. bon c'est un documentaire fait par des allemands sur les massacres de Sabra et Chatilla faits par les phalanges chretiennes pro israelienne en 1982.
que dire... le documentaire se veut objectif. il ne l'est pas bien sur. aucun documentaire ne l'est. l'originalite du film reside dans le fait que les seuls et principaux protagonistes ce sont 6 "bourreaux", 6 miliciens qui ont participe a ce carnage.
incognito, ils temoignent dans la quasi obscurite. ca pese une heure et demi apres.
je ne sais comment un europeen percevra le film, mais moi a des moments j'ai eu envie de rire.
je ne sais pas pourquoi ca ne m'a pas plus sensibilisee que ca. d'un coup j'ai pense que durant la guerre du Liban, il y a eu un millier de carnages. pourquoi est ce qu'on ne s'arrete toujours que sur celui ci?
je me suis demandee combien d'heures de rushes les realisateurs ont-ils filmes? et qu'est ce qui les a pousse a faire ce montage la et pas un autre? quelles sont les paroles que les miliciens ont dit et qu'ils n'ont pas montre?
ce qui est interessant c'est une sorte de booklet distribue au guichet avec quelques details a l'interieur.
les realisateurs les appellent "les bourreaux".
je trouve ca choquant. parce que dans la guerre du liban tout bourreau a ete victime et toute victime a ete bourreau.
c'est un petit documentaire original dans la conception mais merdique dans l'application.
l'entreprise de le faire est quand meme courageuse.
voila! pour ceux qui seraient encore interesses, le debat est ouvert sinon a bientot pour la projection de A PERFECT DAY le dernier film des joreige qui sortira en salles le premier mars et qu'on devrait encourager. du moins pour les libanais d'entre vous. sinon moi je l'ai deja vu en projection de presse et il est pas mal.
aurais je dit pas mal si j'etais encore au Liban? je ne sais pas. mes deux annees a paris m'ont beaucoup aide a relativiser et je vous dis le film est pas mal.
vous pourriez lire ma critique dans quelques jours sur www.ecranlarge.com

jeudi, février 23, 2006

ingrid betancourt

une petite pensee ce soir pour Ingrid Betancourt, captive des farcs depuis 4 ans. pensee pour sa famille, ses amis, et tous les gens qui ont cru en elle. pensee pour ses principes et ses ideologies.
comment se fait-il que c'est tellement difficile d'etre une personne integre?
une pensee pour Allende qui trouva la mort cerne par la cia, apres des annees d'efforts pour la democratie au chili.
pensee donc pour Ingrid, pour qu'elle revienne un jour et qu'elle continue son combat.

elle se demande



extrait de "Elle ou les pages du revers"


Il suffit d’un mot au milieu

De tous les coups de pinceaux

Qui embellissent ma face.

Il suffit d’un mot

Un geste arbitraire,

Un mouvement de retrait ou

Un manque de discernement sélectif.

Il suffit d’un mot

Un retour variable

Et une fuite certaine immédiate.

Dans la nature des choses

Je ne suis personne.

La saison des pluies mouille ma nuque fiévreuse.

Dans la ville charnière,

La vie est un souffle et la mort dure une seconde.

En un mouvement radical

Toutes les issues se bloquent,

Vers de nouvelles composantes poisseuses.

Des conversations officieuses imprègnent l’air,

Un malaise immobile, des murmures malsains.

Je veux boucher mes oreilles

Et toutes mes pores

Pour ne pas voir…

Mais j’ai vu…

Que les chasseurs de l’espace

Ouvrent les poubelles des astres

Et plantent leurs dents

Dans la chair fragile des vaisseaux.

Les couleurs courent alors

Dans les herbes folles de mes souvenirs.

La tortue arrive toujours à bon port

Et puis s’envole

Sans rides ni carapace

Quand la mer est le bout de l’univers

Et l’univers n’est qu’un papier noir

Où des étoiles grossières

Se prennent pour des princesses.

mercredi, février 22, 2006

desordre

extrait de "l'amour et les loups de dieu"


Désordre

Corriger. Effacer. Analyser. Chercher. Eliminer. Reculer. Reculez. Reprendre. Redire. Refaire. Rapetisser. Rajeunir. Revenir. En arrière. Revenir. Repeindre. Reprendre. Revivre.

A 25 ans vivre est une urgence. Aimer est un besoin. Les réveils, un sentiment d’alarme. En pleine nuit, en pleine vie. Quand l’urgence devient aiguisée, elle se transforme en danger.

Comment désactiver l’alarme ? Je ne trouve pas le bouton. Je ne sais pas… c’est surprenant !

J’ai déjà goûté à l’éternité. Elle dure une minute.

hala est rentree a beyrouth



































hala est partie. elle est restee dix jours chez moi et au fond elle va me manquer ma petite soeur.
a travers son sejour, j'aurais aussi eu l'occasion de mieux faire connaissance avec Dima. j'ai aime faire rencontrer a hala mes amis.
hala va rentrer a beyrouth. beyrouth saurais je encore un jour vivre en toi? ou bien est ce toi qui n'arretera jamais de vivre en moi?
hala est partie. elle est rentree a beyrouth. et moi je reste sur paris la belle.
il y a de ces villes qui vous collent a la peau. comme paris. et il y a de ces villes qui vous coulent dans les veines. comme Beyrouth.
mon coeur ne balance pas. je les aime toutes les deux!
chere hala, qui va vider les boulangeries de leurs viennoiseries maintenant que tu es partie?

samedi, février 18, 2006

Entre deux cafes


extrait de "l'amour et les loups de Dieu"


Entre deux cafés

Le type du tabac de la Sorbonne m’a dit qu’on a déjà la chair de poule de froid alors qu’on n’est qu’en Août. Il m’a dit aussi, « heureusement qu’il y a la chaleur humaine pour compenser tout ça ».

Et ceux qui n’ont pas la chaleur humaine alors ? Ils font quoi? « Ben faut chercher. Chercher et voyager » il a dit en me faisant un grand sourire.

Le type du tabac a dit qu’il faut chercher et voyager. Alors mon amour, voyage moi. Cherche moi. Peut être alors que tu écriras moi pendant que moi je chanterais toi ??

Ma future maison est construite au fil des ans et des voyages. Elle est blanche et ensoleillée. Devant elle s’étend une mer inconnue et étrangère. Salée. Dans laquelle je plongerais mes oublis et mon corps et ma mémoire. Je plongerais mes deuils et mes exils et mes cheveux longs. Très longs. De plus en plus longs. Un jour quelques dauphins s’approcheront. Ils n’auront pas de noms. Les noms ne servent à rien. Je les reconnaîtrais et ne chercherait pas à les capturer ni les caresser. Ils seront libres. Et moi je remplirais mes yeux du plaisir de les voir batifoler au loin sur les vagues de ma mer qui s’étend bleue et infinie devant ma maison.

Et puis le soir, j’irais derrière ma maison. Et je regarderais les montagnes peu à peu noircir de nuit.

Mes étés se conjuguent au passé antérieur. Capturer la vie, agréable mosaïque imaginaire, colorée et étrangement si complète. Une étoile dorée gît sur le trottoir rue des quatre fils à Paris. Elle a du probablement glisser du front d’un petit garçon tout content qui racontait à sa maman à quel point la maîtresse était contente de lui. Les mémoires des étoiles déchues sont silencieuses.


(aout 2005)

vendredi, février 17, 2006



































quelques images du sit in qui a eu lieu ce soir jeudi 16 devant le mur de la paix.
je suis un peu decue. il y avait a peine 100 personnes... oui il faisait froid, oui ce n'etait qu'une petite action venant de la part de quelques jeunes, oui c'etait sous forme a politique... je m'attendais quand meme a un peu plus de gens. surtout un peu plus de jeunes.
mais ce n'est que le debut. un tout petit pas timide dans notre joyeux exil parisien vers un une affirmation de nos idees.

je joins aussi quelques photos de la preparation tardive du Sit In hier soir, mercredi 15. on y restees jusqu'a 4 heures du matin. certains moments sont inoubliables. je profite des 10 jours que ma soeur est a Paris pour lui faire partager ma vie, mais aussi j'ai eu la chance de faire plus connaissance avec deux filles geniales yvonne et Dima!

"kell sit in wou ento bi kheir" " au prochain Sit In!"

mercredi, février 15, 2006

Comes the Dawn By Veronica A. Shoffstall

ceci est un texte que m'a envoye mon ami lucien au Canada. je trouve ce texte triste, doucement triste et sage. mais reel... et parfois je me dis si la vie c'est ca, apprendre et se laisser mourir un peu plus chaque fois a quoi bon alors qu'on vive?
c'est pour ca qu'a la fin on meurt. pour avoir trop vecu et a chaque rupture, a chaque evenement, un peu de nous meurt et puis on meurt en entier.
bon je vous laisse lire le texte au lieu d'avoir des idees noires. bonne lecture.


Comes the Dawn
By Veronica A. Shoffstall

After a while, you learn the subtle difference
between holding a hand and chaining a soul,
and you learn that love doesn't mean leaning
and company doesn't mean security,
and you begin to learn that kisses aren't contracts
and presents aren't promises,
and you begin to accept your defeats
with your head up and your eyes open
with the grace of an adult, not the grief of a child,
and you learn to build all your roads on today
because tomorrow's ground is too uncertain for plans.
And futures have a way of falling down in mid-flight.
After a while, you learn
that even the sunshine burns if you get too much.
So you plant your own garden and decorate your own soul,
instead of waiting for someone to bring you flowers.
And you learn that you really can endure...
That you really are strong.
And you really do have worth.
And you learn and learn...
With every goodbye you learn.



La mort du pigeon

extrait de "l'amour et les loups de Dieu"

Il a été foudroyé. Terrassé. Comme s’il avait eu une crise cardiaque. Comme un homme qui meurt sur le coup. Et moi je ne faisais que marcher sur les trottoirs de Paris comme tous les jours. Il est descendu en piqué en face de moi en faisant une diagonale du ciel vers la terre.
Le pigeon est tombé et s’est fracassé par terre devant mes pieds et devant mes yeux. Certaines de ses plumes gisaient en touffes à côté de lui.
Il a ouvert les yeux et ouvert son bec. Il a exhalé son dernier soupir. Je l’ai presque senti frôler mon visage avant de s’élever dans l’air. Puis il a roulé ses yeux et il a tressauté une dernière fois puis il a fermé ses yeux et il n’a plus bougé. Tous les autres pigeons se sont envolés et sont allés se poser un peu plus loin dans le jardin de l’église St Médard. Je suis restée là à le regarder. Une mort en direct. On meurt tous de la même façon. Les bêtes comme les hommes et les hommes comme les bêtes. Qu’on en déduise ce que l’on veut.
Je n’ai pas touché au pigeon. Si dans leurs traditions de pigeons, les pigeons ne ramassent pas leurs morts pourquoi moi je le ferais. Ce n’est pas mon job. Il est mort. Il n’est plus qu’un tas de plumes.
Un pigeon comme tant d’autres auxquels j’ai donné plein de coups de pieds.
En plus, les pigeons c’est des rats volants n’est ce pas ?

(2005)

mardi, février 14, 2006

souvenir du Monnot

extrait de "l'amour et les loups de Dieu"


Les bancs du 7ème arrondissement snobent les promeneurs et font pacte avec les pigeons. Il y avait ce corbeau tout gros qui ne voulait pas qu’on le photographie et qui s’esquivait. Sur les bancs des invalides le temps est un luxe.

Mais sur les bancs des invalides j’ai raconté l’histoire du Fantôme du Théâtre Monnot. Cher Gougou fantôme du Monnot, je te salue.

Il y a une meute de chiens qui traîne dans la rue Monnot, la rue de mon théâtre. Parmi eux, il y a une chienne moyenne, blanche, tachetée de noir et qui est très douce. Cette meute entoure un vieux sdf qui fouille les poubelles. Il n’est pas dangereux. Juste un vieux mec anarchiste et solitaire qui fouille les poubelles.

Le soir quand je la trouvais couchée à côté de ma voiture j’avais ce sentiment étrange qui m’étreignait. Ma chienne est vivante. Je ne peux pas trop la gâter parce qu’un jour je vais partir et elle sera de nouveau seule avec d’autres amis éphémères, mais là je me dis, cette chienne me reconnaît et elle va bien et elle se promène dans l’une des plus belles rues de Beyrouth, une rue où le temps parfois risque de s’arrêter. Après le départ des étudiants et les horaires de travail, avant la vie nocturne des fêlés de la nuit, il y a alors ce moment magique de silence qui règne et une rue vide. Un théâtre qui se prépare et des chiens qui dorment. En sortant du théâtre tard la nuit, fatigués, on passe entre des clowns maquillés et grotesques. Nous sommes les fantômes du Monnot.

Un jour, je suis effectivement partie mais en tout cas ma chienne était déjà morte. Renversée par une voiture. Je suis restée à côté d’elle jusqu'à ce qu’elle meure à fond. J’ai regardé la mort dans ses yeux et puis j’ai appelé la municipalité. Sa carcasse ira pourrir dans les décharges publiques de la ville de Beyrouth.

Gougou hante peut être encore les murs, les coulisses, la régie du théâtre Monnot. Peut être aussi qu’il ne hantait que moi et ces quelques fous avec lesquels je travaillais.

Je suis loin, je suis partie, mais un théâtre se transporte dans les doigts. Et mes doigts portent l’empreinte du théâtre Monnot. Faites un tour là bas, vous m’y trouverez, c’est moi le fantôme du Monnot…

(2004/2005)

lundi, février 13, 2006

Rue Vaugirard

extrait de "l'amour et les loups de Dieu"

"J’ai pensé qu’il apparaîtra au détour d’une rue pour s’expliquer. J’avais pensé qu’une paix temporaire m’attendait Rue vaugirard.

Les hommes parait-il, changent d’avis subitement. La raison prend l’ascendant sur l’émotion et ils passent à autre chose.

Mes jours de tristesse sont toujours caressés par un doux soleil. Il tombe sur mon visage et mes cafés et me trompe. Il y a alors cette impression que la douceur guérit les maux.

Bien sur, il n’apparaîtra pas au détour d’une rue et il ne m’expliquera rien. La beauté, tout comme le temps sont relatifs.

Je n’ai jamais demandé à personne de venir me chercher de mon isolement ; ni de m’en faire sortir ; ni de me montrer furtivement de la beauté pour m’en priver juste après. Subitement. C’est un jeu dangereux. Il déchaîne les passions. Et puis, d’une autre part comme le dit si bien la douce Hal : « personne ne peut être ton bras si toi tu n’en as pas un de bras. Il faut attendre que ton bras repousse ».

Mes organes manquants repousseront peut être. Mal, car esthétiquement parsemés de cicatrices… mais les cicatrices, ça fait des lignes, et les lignes ça se rejoint et puis ça forme comme des petits dessins et les dessins ça raconte et ça se raconte…

Je souhaiterai un jour pouvoir repasser avec toute tranquillité dans la rue Vaugirard, l’âme en paix après une tempête soulevée de rien. Le cœur léger et la démarche câline.

La rue Vaugirard est longue. Autant que ma tendresse et autant que la ligne de vie de l’homme qui ne s’expliquera jamais.

Peut être au fond, tout ce dont j’ai besoin c’est d’une bonne coupe de cheveux.

Les yeux dans les yeux c’est nécessaire pour les débuts mais ça fait peur pour les fins."

(2006)

dimanche, février 12, 2006

les enceintes de Mr E

Ame en Seine
Déambule broyée
Sur des quais en queues
Somnambule peinée;
Pensées qui traînent
malheureuses noyées
En marche arrière
S'oublient et se freinent;
Ame en Seine
Mes enceintes revivent
Mes rêves avortons
Se plient et peinent
A soutenir le regard
Nocturnes observations
Pris sur le fait
En forme d'embryons.

invitation au sit in

From: L'Union Libanaise Culturelle dans le Monde <ulcm@online.fr>
Date: Feb 11, 2006 10:24 PM
Subject: l'ULCM & les jeunes libanais en France vous appellent à un SIT-IN pour soutenir la LIBERTE, le RESPECT & le DIALOGUE

Liberté, Respect, Dialogue

Des manifestations violentes ont secoué notre capitale Beyrouth le dimanche 5 février 2006, et des actions similaires continuent à se dérouler, hélas, un peu partout dans le monde.

En tant que jeunes libanais vivant en Europe, nous défendons avec conviction le droit de manifester.

Cependant, nulle appartenance, fut-elle laïque ou religieuse, ne peut justifier le recours à la violence comme mode possible d'_expression.

Seul le dialogue, dans un climat de confiance et de respect, peut nous permettre de comprendre les messages des uns et les susceptibilités des autres.

Tel est l'essence de la « vocation » libanaise, tel est le sens de notre culture.

L'Union Libanaise Culturelle dans le Monde

vous invite à participer au sit-in pacifique devant le Mur de la paix,

métro Ecole Militaire, Ligne 8

le Jeudi 16 février à 19h30,

pour dire notre attachement à la paix, à la liberté, au respect et au dialogue.

Vous pourrez soutenir ce message en signant une pétition sur place.

Le Sit-in sera animé par des chansons et musique de paix.

Le monde doit voir dans nos figures ce jour-là,

le vrai visage du Liban auquel nous croyons.

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Pour plus d'informations : www.ulcm.net – pour nous contacter : ulcm@online.fr

samedi, février 11, 2006

SIT IN a venir soyez nombreux

un sit in pacifiste sera organise par les jeunes libanais a Paris le JEUDI 16 FEVRIER 2006 devant le MUR DE LA PAIX a 19H30.

(metro les invalides)

ce sit in a lieu pour contester contre les violence perpetrees au Liban contre les institutions diplomatiques et autres. nous voudrions exprimer notre souhait de paix et de dialogue mais aussi de respect mutuel et de liberte d'expression.
une petition sera signee ainsi que des animations.

toute personne pacifiste arabe ou europeenne est invitee a nous soutenir.
a bientot au 16!

premier blog 11 fevrier 2006

bienvenu sur mon premier blog. pour une debile de l'ordinateur je dois avouer ce fut plutot simple. grace a mon amie Mme Y. et son aide precieuse.
je vous souhaite donc la bienvenue en esperant recevoir vos commentaires et avis mais aussi tout ce que vous aurez envie de dire.
dans les pages de hoda, on va se promener....

HO